Extrait de Wikipedia : "Les premières partitions écrites spécifiquement pour le cinéma jouent généralement le même rôle que les morceaux du répertoire classique qu'elles remplacent : elles ne font que soutenir le discours cinématographique, souvent avec emphase. Cette réduction de la musique à une fonction de doublage amènera le compositeur Igor Stravinski à la considérer comme du papier peint.
Petit à petit, la musique brise le cocon de simple accompagnement sonore. Elle dépasse son rôle d'illustration pour apporter une dimension supplémentaire chargée de sens. Au-delà de son apport esthétique, elle devient utile et participe au récit.
C'est la partition de Hans Zimmer qui agit comme révélateur et transforme l'attente du spectateur en véritable angoisse dans le film de guerre La Ligne Rouge de Terrence Mallik. Le thème musical devient même un leitmotiv induisant l'appréhension à lui seul à plusieurs reprises dans le film.
En 1969, le rock fait son apparition dans la musique de film. La bande originale enchaîne les tubes. La commercialisation des musiques de film devient populaire. Les ventes de bandes originales explosent car elles proposent une compilation de morceaux connus.
Petit à petit, la musique brise le cocon de simple accompagnement sonore. Elle dépasse son rôle d'illustration pour apporter une dimension supplémentaire chargée de sens. Au-delà de son apport esthétique, elle devient utile et participe au récit.
C'est la partition de Hans Zimmer qui agit comme révélateur et transforme l'attente du spectateur en véritable angoisse dans le film de guerre La Ligne Rouge de Terrence Mallik. Le thème musical devient même un leitmotiv induisant l'appréhension à lui seul à plusieurs reprises dans le film.
En 1969, le rock fait son apparition dans la musique de film. La bande originale enchaîne les tubes. La commercialisation des musiques de film devient populaire. Les ventes de bandes originales explosent car elles proposent une compilation de morceaux connus.
La musique devient indissociable de l'image et les réalisateurs y accordent une place croissante. Les thèmes musicaux de certains films deviennent de véritables succès populaires. Des collaborations durables s'installent entre metteur en scène et compositeur qui partagent le même univers, la même sensibilité : Steven Spielberg et John Williams, David Cronenberg et Howard Shore, Alfred Hitchcock et Bernard Herrmann, Sergio Leone et Ennio Morricone, David Lynch et Angelo Badalamenti, Tim Burton et Danny Elfman ou Luc Besson et Eric Serra.
Dans les années 1990, la musique de film interagit avec le récit et l'on peut ainsi voir les personnages de Magnolia (Paul Thomas Anderson, 1999) se mettre à chanter alors que le film n'est pas une comédie musicale.
En 1995, cherchant à renouer avec plus de simplicité et de sincérité, le vœu de chasteté du Dogme95 interdit d'utiliser toute musique qui ne ferait pas partie de l'histoire (elle ne doit pas être rajoutée au montage, elle doit faire partie de la scène : les personnages peuvent l'entendre)."
Voici, pour ma part, quelques adresses très intéressantes de sites, blogs de compositeurs "nouvelle génération" de BO françaises :
- Le blog de Guillaume Roussel ( vidéo sur Guillaume Roussel )
- Le blog de Tangy Follio
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