Pour bien débuter, le JUNO-G, un clavier tout en un.

Je viens de découvrir un clavier, le Roland JUNO-G, qui devrait en intéresser plus d’un. En effet, il regroupe tout ce dont on a besoin pour bien débuter et pour enregistrer un CD. Tout cela pour un prix tout à fait abordable : 1029 € prix généralement constaté.

Le JUNO-G est un synthétiseur de 61 touches et d’un poids de 6,2kg, vous pouvez donc l’emporter partout, l’utiliser autant chez vous, en studio que sur scène.
Il propose 1024 sons différents allant des sons les plus classiques aux sons les plus bizarres, très pro. Les plus de ce clavier sont :

Un processeur d’effets (78 types différents).
Une boite à rythmes (45 types de batteries).
Un enregistreur multipistes (16 pistes dont 4 en audio).
Une connexion USB pour relier le clavier à l’ordi.

La connexion USB : elle permet de transférer les données des morceaux créés sur le JUNO-G et ainsi retravailler ses morceaux, grâce au logiciel SONAR LE livré avec.

Vous comprenez donc que l’on a à faire, là, à une vraie bombe pour un prix tout à fait accessible.

Le multipiste midi/audio : Avec ses capacités à enregistrer 4 pistes audios, vous voilà au commande d’un vrai home-studio pour vous enregistrer, vous et vos pôtes : 1 piste voix, 1 piste guitare (qui sera passée avant par votre pédale d’effet préférée), 1 piste chœur, 1 piste basse. Rajoutez quelques effets, une prog de batterie midi, transférez sur votre ordi., mixez et masterisez le tout sur SONAR LE, le tour est joué. Vous n’avez plus qu’à graver.

Notez la bonne initiative de Roland : un guide gratuit qui vous explique en 27 pages détaillées et en photos tout ce que vous pouvez faire avec ce clavier. Vous y trouverez aussi des trucs et astuces très intéressants pour profiter à fond du JUNO-G. Le mien, je l’ai trouvé chez Espace-Clavier à Bordeaux, je suis sûr qu'ils feront même un effort sur le prix ;)

Bonnes et moins bonnes nouvelles...

Budget 2008 du ministère de la Culture.

Avec 2,928 milliards d’euros, l’enveloppe du ministère de la Culture pour l’année 2008 progresse de 3,2 % par rapport à 2007. Le soutien au spectacle vivant est stable, à hauteur de 640 millions, avec un accent mis sur l’aide aux scènes nationales en régions.
Les principaux secteurs dont l’enveloppe progresse sont : le patrimoine (979 millions d’euros, + 10,1 % par rapport à 2007), les arts plastiques (53,6 millions, + 8 %), l’éducation artistique (31,5 millions, +6,1 %) le compte de soutien aux industries cinématographiques et audiovisuelles (503,1 millions, +4,5 %).

Suite aux obligations de résultats demandés par le chef de l’Etat dans sa lettre de mission, le secteur du spectacle vivant était inquiet des crédits alloués à ce domaine qui reste finalement stable à 640 millions d’euros. Les scènes subventionnées en région bénéficieront d’un léger coup de pouce, soit une augmentation de 1 % de leurs crédits.L’année 2008 devrait ainsi voir l’ouverture des scènes de musiques actuelles (Smac) d’Evreux, Rouen, Vannes, Grenoble et Saint-Etienne.

Dans le domaine du disque, l’action de l’Etat poursuit sa politique d’appui aux mécanismes de garanties IFCIC, aux crédits d’impôts, aux commerces culturels par l’intermédiaire du FISAC, au FCM, Bureau Export et à l’Observatoire de la Musique.

Pour le secteur des musiques actuelles, on regrettera que l’aide et le fonctionnement du Conseil supérieur des musiques actuelles et des Concertations territoriales ne soient pas évoqués, alors que les fédérations du secteur réclament d’être entendus à ce sujet par la ministre de la Culture.

Article complet sur le site de l'Irma